Le registre des déplacements du Secrétaire général de l’ONU en 2025 ressemble moins à une diplomatie protocolaire qu’à une cartographie des tensions mondiales. Une mobilité constante qui révèle un multilatéralisme sous pression, davantage engagé dans l’endiguement des crises que dans leur résolution.
Ce qui s’est produit à Bondi Beach n’est pas seulement un attentat terroriste. C’est le révélateur d’un système où l’antisémitisme, l’islamophobie et l’ethno-nationalisme se renforcent mutuellement au cœur du même extrémisme.